Sous "e" side
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Sous "e" side
Quand je bois la douleur s’efface.
OU plutôt devient si forte que je ne peux plus l’ignorer, et qu’elle finit par sortir… par s’échapper, en volutes, comme une cigarette, un cigare,
je la maîtrise avec mon souffle, elle s’anime, et prend vie au gré de mes respirations. De mes aspirations.
En ce sens, j’en deviens maîtresse et je lui fais l’amour, prends corps avec elle, et la laisse s’émanciper.
Aujourd’hui, le jour, le soir, la nuit, qui vient, la matinée, la nuit dernière…,
toute ma vie passée, pèse.
Pèse, et je pèse mes maux, et la voilà capable d’émerger.
En bas, télévision serine des publicités glauques.
La société s’emphase et s ‘émeuve de probabilités mensongères.
Le passé furtif s’immisce dans le présent.
A noter, que "présent" et "cadeau" sont synonymes…
Je suis sans aucun doute née sans cette clé qui m’aurait fait humaine.
Et paradoxe intense, à prendre dans le in -dans -tense, la souffrance n’en est que plus intense.
Je rumine et je mâche un non-sens, cette irréalité quotidienne.
Ce tas de gens sans affects, sans sexe, sans autre pronostics que la piscine près de la maison qu'ils auront eu soin de construire pour mieux s'enfermer.
La maison ? quid ?
La piscine ?
Mais voudraient-ils prison et noyade pour succomber ?
La clef est ainsi faite. Réservée à d'autres ou certains...
"On", moi, l'incertaine, le doute, voit la porte, la serrure, "on" regarde alentour, "on" voit des choses que personne d’autre n’a jamais vu, et jamais rencontré… ou jamais assumé d'avoir jamais vu...*
mais la serrure, le bois, la porte, restent là… avec ce trou, si indécent… derrière la Vie ?
Je regarde, derrière, comme au travers du vagin d’une femme.
Mais mon monde à l'autour n’est que ce monde là que je construisis et que mes ancêtres me transmirent.
OU plutôt devient si forte que je ne peux plus l’ignorer, et qu’elle finit par sortir… par s’échapper, en volutes, comme une cigarette, un cigare,
je la maîtrise avec mon souffle, elle s’anime, et prend vie au gré de mes respirations. De mes aspirations.
En ce sens, j’en deviens maîtresse et je lui fais l’amour, prends corps avec elle, et la laisse s’émanciper.
Aujourd’hui, le jour, le soir, la nuit, qui vient, la matinée, la nuit dernière…,
toute ma vie passée, pèse.
Pèse, et je pèse mes maux, et la voilà capable d’émerger.
En bas, télévision serine des publicités glauques.
La société s’emphase et s ‘émeuve de probabilités mensongères.
Le passé furtif s’immisce dans le présent.
A noter, que "présent" et "cadeau" sont synonymes…
Je suis sans aucun doute née sans cette clé qui m’aurait fait humaine.
Et paradoxe intense, à prendre dans le in -dans -tense, la souffrance n’en est que plus intense.
Je rumine et je mâche un non-sens, cette irréalité quotidienne.
Ce tas de gens sans affects, sans sexe, sans autre pronostics que la piscine près de la maison qu'ils auront eu soin de construire pour mieux s'enfermer.
La maison ? quid ?
La piscine ?
Mais voudraient-ils prison et noyade pour succomber ?
La clef est ainsi faite. Réservée à d'autres ou certains...
"On", moi, l'incertaine, le doute, voit la porte, la serrure, "on" regarde alentour, "on" voit des choses que personne d’autre n’a jamais vu, et jamais rencontré… ou jamais assumé d'avoir jamais vu...*
mais la serrure, le bois, la porte, restent là… avec ce trou, si indécent… derrière la Vie ?
Je regarde, derrière, comme au travers du vagin d’une femme.
Mais mon monde à l'autour n’est que ce monde là que je construisis et que mes ancêtres me transmirent.
katie- Nombre de messages : 79
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Date d'inscription : 09/12/2006
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