k7

Alors, vala...


Lundi, ou mardi, je ne sais plus, les jours se succédant dans une nuées (pluriel volontaire - qu'on se le dise, emeric) de néant absolument invraisemblablement arachnidement concaves, ou convexes, c'est selon l'état d'esprit du moment, difficilement paramétrables, bref, dans la vacuité de mes jours et la fenaison de mes nuits, un soir, donc, alors que je tentais désespérément d'écouter la voix hypnotique d'un stupide et mordant lecteur mp3esque, visant à me faire cesser d'adhérer, pardon, d'addicter à ma consoeur fumeuse, re-virgule, - pour bien appuyer la rupture dans le récit - la sonnette "tinta".

"Tonna" serait plus juste, si on considère un tant soit peu le son stridulent électromécanique de l'engin de torture inclus dans le forfait logement - avant de louer, écouter la sonnette, conseil d'amie.

Bref;

Eveillée de ma somnolence cérébrale, quasi hépathique - "il" - la voix - dans l'oreille gauche - me racontait que le tabac me filait envie de vomir, que c'était sale, tout ça - , je me hissais de mon état quadriphasé pour descendre répondre au quidam importun, ou opportun, qui sait ?

Un rapide coup d'oeil via fenêtre au 1er, puis porte. Personne.


Pas un chat.

Damn.

Gwendo, ivre de sa journée collégienne, emplie de ferveur et de sa condescendance toute adolescente - soit dit en pensant condescendance tant qu'ellle n'a pas de descendance - je rigolerai plus tard - quand je serai grand-mère - gnarc gnarc - rentre et d'une vive voix qui emplit l'espace silencieux que seuls les chuintements livresques, et le ventilateur de l'ordi, et la musique, des fois, mais je fais gaffe depuis que la mamie d'à côté râle de mes lubies sonores et dansantes - bref, Gwendo verbalise un "bonsoir" tonitruant, ressort, et, et, après avoir congelé l'espace, brandit gaillardement l'objet de ce post, un objet pas phallique certes, mais énigmatique : une VHS d'un autre âge - je sais, c'est redondant.
Avec en guise de couverture, un article récapitualant les clips de Mylène, la vilaine fermière, comme dirait Jean-Mi dans ses accès de bonté.

Elle gisait, la pauvre bande magnétique, près de la fenêtre aux barreaux indiquant le lieu de nos égarements les plus intimes.

Qui?

Qui c'est ?

Jeveusavoère !

alors la suite ? moi j'veux savoir aussi en attendant n'arrétes pas d'écrire tu as un pur style, j'aime te lire, c'est pas assez souvent... c'est drole,bien fait bref toi
ne me laisse pas comme ça racontes moi la suite .... lolo