festoche biélorusse à Paris

Le plaisir d'écouter une langue connue mais pas comprise, se délecter de ces sons, comprendre de temps en temps, retrouver des voix silencieuses depuis longtemps, se laisser aller à la biélorusse (avoir des regrets le lendemain matin...), des guitares, des chansons, des poèmes, des amis, des toasts sérieux... Il y avait tout ça, c'était bien et qu'on se le dise, ça recommencera l'année prochaine.

elle est naze cette photo ! Ca fout toujours l'ambiance en l'air quand il y a un objectif dans le champ...

Comment on dit coiffeur en Biélorusse ?

c'est pas de ma faute, j'ai reçu la malédiction du coiffeur maudit au berceau. dégoutemane !