Claire Golhfart et Hélène Labarrière

Le concert que vous avez râté dimanche dernier les toulousains.

J'en profite honteusement pour faire de la pub aux copains du "Pavé dans le Jazz" qui sont en déficit et qui opèrent au théâtre du Pavé environ une fois par mois. Cette année le fil conducteur : c'est la contrebasse.

Alors voilà, Claire Golhfart (bon sang je suis sûre que j'écorche son nom), elle est violoncelliste et belge de surcroît. Elle a inventé un langage et elle chante...pour l'instant pas de disques disponibles, c'est dommage. mais en plus elle fait le clown avec son instrument et en plus elle conte des histoires fantastiques avec des ogres qui mangent des gnocchis. Et en plus cette fois, elle était accompagnée d'une danseuse contemporaine.

Hélène Labarrière est apparement une pointure en contrebasse. Au bout de trois morceaux, où à force de concentration j'avais réussi à trouver une pointe de mélodie, elle nous annonce comme ça :
vous aurez bien sûr reconnu "Sous les ponts de Paris", Avec le temps va tout s'en va" et une autre chanson dont je ne me souviens plus. Perplexe je tourne la tête à droite : petit hochement de tête entendu de mon voisin; à gauche, confirmation de ma voisine. Je suis la seule à n'avoir rien reconnu ou quoi ? Bref je me concentre un peu plus... pas moyen, je dois avoir du persil dans les oreilles. Bref c'était des chansons revisitées et non chantées.

Votre correspondante culturelle,

Ah mince, j'ai buggé, comment je fais pour enlevé ce sujet qui est en double, maintenant...
je serai jamais administratrice ! beuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh

Mélaine, il faut toujours hocher la tête d'un air entendu aux concerts de musique contemporaine...
C'est un peu comme ça qu'on applaudit.

T'inquiètes pas Mélaine, ton doublon est supprimé