questions futiles

Pourquoi le gazon des stades de foot est bicolore : vert clair et vert foncé ? Christophe dit que c'est à cause du tondage. Avez-vous une autre explication, celle-ci ne me satisfait pas.

Est-ce que la mathématique est plus un code de la réalité qu'une langue ?

Est-ce que Voltaire s'amuse ?

Le foot j'sais pas trop, sûrement ta télé qui déconne. Voltaire est mort. Les mathématique ne me paresse pas être un language. Cf Ludwig Wittgenstein

Pour le foot je suis avec Chris. En fait ils tondent par bandent dans la largeur. Quand tu tond, tu coupe mais tu couche aussi l'herbe dans un sens. Alors quand il font le chemins inverses ça couche l'herbe dans l'autre sens... Y'a même des stades qui le fond en arc de cercle (et même qu'au football américain ils les calcules pour que ça fasse les vrais limites de distance)... Mais quand t'es sur la pelouse tu vois rien.
Pour moi les mathématiques sont des outils dont nous nous sommes dotés pour comprendre la nature, la quantifier, lui trouver un facteur commun. Quand à distinguer code la réalité et langue...
Pour Voltaire je suis avec Emeric.

Pourquoi les hubots d'avion sont toujours rayés par l'extérieur ?
Les langues ne sont elles pas des codes de la réalité ?
N'y a t'il qu'une réalité en un endroit et un temps donné ?

la tonte, non?

Les mathematiques n'ont rien a voir a la realite... Neanmoins ils peuvent etre utiles pour la modeliser...

Attention avec Wittgenstein: 2 periodes, il a change d'avis le bonhomme...

Attention aussi, mathematique n'egale pas logique (et Wittgenstein est plutot un logicien qu'un mathematicien)... malgre les diverses tentatives de reductions des deux cotes de la barriere... il semble qu'on arrive pas a les enfermer dans une seule boite.

Pour moi (et pour tant d'autres avant), qui dit langue, dit systeme conventionel dans lequel des signaux physiques sont associes a des sens. Ce que sont ces sens est une autre paire de manche... mais souvent on les associent avec des entites abstraites (souvent dans un cadre logique) (usant (i) de primitives cognitives pour ceux qui considerent que tout ca se passe dans la tete et qu'on ne peut faire l'economie de l'analyse des intentions, croyances.... ou (ii) de primitives sociales si on se concentre sur les aspects normatifs ou que l'on considere que les intentions et les croyances sont impossibles a analyser formellement...).

Pour le lien entre le language et la realite, la question me semble inapropriee. Une langue n'est qu'un outil pour une population afin d'interagir efficacement (et donc de communiquer) dans un contexte donne. On peut dire que ce contexte est la realite mais en fait la question existentielle de la realite ne vient pas perturber cette vision du language.

PS: Je suis d'accord que cette definition du language est quelque peu restrictive... Il existe des languages qui n'ont jamais ete parle...

Pour le début ok.
Pour le lien language réalité ok encore.
Mais j'ai besoin d'aide pour le milieu : La première phrase qui donne une définition d'une langue me convient (avec ta restriction de P.S.)...
Mais j'ai du mal avec les 2 visions du sens. Je crois comprendre que pour avoir idée d'un sens donnée, soit on se place a l'échelle d'un individu, soit a celui d' un groupe... J'ai pas trop tord ? Si toi ou quelqu'un d'autre avaient des petits exemples pour illustrer je serai super content.

j'avais commencer a pondre une super-reponse... mais pour une raison non identifiee.... tout ce que j'avais tape a disparu... je suis vert: reponse une autre fois!

Bien sûr que non que Voltaire n'est pas mort.
La preuve, c'est qu'il s'amuse et nous fait chier!

Pour moi amuser les gens et les fairent chier ne sont pas vraiment des critères de vie. Voltaire donc est mort mais plus fort que Mandrak il dépasse le cotés obscure et parvient encore à avoir une action dans le monde des vivants... Le mec il déchire sa race! Et j'espère bien que ça le fait marrer.
Laurent la réponse n'est pas urgente, mais je la veux bien quand même quand tu auras le temps.

Pour les hublots je pense que c'est à cause des oiseaux (distraits), qui ont des os très fins et quand on les casse ils sont très coupants.

Quand aux mathémathiques qui n'ont rien à voir avec la réalité, je reste très septique. C'est quand même l'expression de la réalité, un homme un jour a eu besoin de savoir combien il aurait de chêvre si il volait celle de son voisin, avec ses quatre chêvres et les trois du voisin, il en a sept... c'est une réalité les sept chêvres. D'autant plus qu'il faut qu'il est un terrain plus grand maintenant et qu'il lui faut traire sept chêvres au lieux de quatre et qu'il a besoin d'un autre chien, qu'il nourrit avec le lait de trois chêvres... il a donc plus de travail, n'a pas plus de lait et à un voisin qui veux se venger... (peut être un autre chien). Si il avait était un peu meilleur en math!

Si on reherche l'origine des mathématique on est surpris de constater que c'est une science qui remonte à la nuits des temps, bien avant l'invention des chiffres, on a retrouver des entailles sur des os datant de 30000 ans qui pouraient bien être les traces de premières opérations. On a rapidement eu besoin également d'élaborer des calendriers pour mesurer le temps... tout ceci tant à prouver que le calcul en tout cas, et le fruit d'observations faites par les hommes à partir de leur réalité quotidienne, et de leur besoin d'apréhender les phénomènes qui les entourent.
Evidemment à mesure que cette science c'est complexifiée le rapport à la réalité est devenu de moins en moins évidant. Il reste que les grandes lois mathématique sont souvent le fait d'observations, longtemps les mathémathicien furent aussi astronomes, ce qui à mon avis n'est pas le fruit du hasard. On peut toujours, disserter sur la fiabilité, le contexte, ou l'abstraction, mais le fait est que le rapport existe... à mon avis.

Ouais, mais moi je pense que les oiseaux ils sont pas distrait du tout et qu’ils le font exprès ! Les oiseaux c’est que des enfoirés qui puent la patate ! Ils respectent rien qui volent, c’est que des racistes de l’espace aérien.

Pour les mathématique je pense qu’il est bon de différencier les outils d’une part et l’interprétation et l’utilisation des résultats d’autre part… Additionner 2 troupeaux de chèvres c’est utiliser l’outils mathématique « addition » (franchement j’suis super fier de cette phrase).
Je pense effectivement que les mathématiques ne sont pas sans rapport avec la réalité puisque comme tu le dis elles en sont issue. Nous avons effectivement développé cette « discipline » par l’observation des choses. Le but été ,et reste toujours, de comprendre le monde, de percer et si possible de maîtriser les grandes lois qui le régisse. C’est rigolo parce que ça part d’un principe de penser assez simple et qui nous paraît tellement naturel que nous ne le remettons jamais en cause : le monde et l’univers sont logiquement structuré. L’idée même que notre univers soit bordélique et sans réelle loi organisationnelle n’as que rarement été avancé. Ce joyeux principe que l’univers est organisé et que nous pouvons (et donc nous devons) en comprendre les principes et mécaniques doit effectivement être aussi vieux que notre espèce, même si nous faisons partir les bases théoriques aux philosophes grec « pré-socratique » (Pythagore, Tallés, Archimède, Erathostème, Démocrite…). Bref dans cette grande quête nous avons développer des outils, des idées, des concepts. Les mathématiques (aussi appelé reine des sciences) en est un outils majeur. Mais je pense qu’il faut faire très attention et ne pas inverser la donne en tombant dans le monde est construit sur des lois mathématiques et logiques. Des générations de chercheurs s’y sont plus ou moins cassé les dents. Le monde est monde. C’est nous qui tentons de le rendre mathématiquement et logiquement compréhensible et appréhensible.

Toujours sur ce lien mathématiques, logiques, sciences et réalité émerge en ce moment de lourds questionnements sur l’exactitude et la réalité de ce monde… C’est en particuliers porté par les physiciens quantiques (ce qui se passe dans l’infiniment petit). Ils se trouvent confrontés à des phénomènes particulièrement sympas comme des éléments présents en même temps à 2 endroits différents. Face à ces phénomènes ils sont obligés de tout revoir et se re-penche sur l’un des questionnements majeurs des sciences : L’observateur à t’il une incidence sur le phénomène observé. Auquel cas qu’est ce qu’est vraiment la réalité que nous observons, dans quel monde je vis, dans quel état j’hère…Si ça vous intéresse Science et vie à sorti un numéro spécial là dessus. J’peut vous retrouver le n° et pourquoi pas tenter d’essayer de vous faire un petit retour des théories exposer.

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